lundi 5 avril 2010

Je n'ai pas le nez, seulement Cyrano.


Chacun de nous à sa blessure: j'ai la mienne.

Toujours vive, elle est là, cette blessure ancienne.

Elle est là, sous la lettre au papier jaunissant.

Où on peut encore voir des larmes et du sang!




Mon coeur n'existe plus.

L'ubiquité de mes derniers jours, l'ont fait disparaître.

C'est dans la tête que j'ai mal.


Dans l'hemisphère droit si j'ai bien compris...




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